Gérard LEYZIEUX
Dans ce vide empli d’absences
Flotte l’odeur de tes ailleurs
Bruissements incessants de chants
Les paroles fuient vers les sonorités amuïes
Il te reste l’afflux d’effluves vitales
Vol se brise aux parois du néant
Et tout s’ouvre à l’huis de tes journées